Bonjour,
Je m’appelle Béatrice. Je suis une jeune soubrette ingénue et perverse, dévouée corps et âme à sa maîtresse. Voilà maintenant dix ans que je suis à son service. Dix ans d’aventures dont je souhaiterais vous faire partager les épisodes les plus marquants en vous racontant mon histoire.
Une histoire qui aurait pu ne jamais exister s’il ne m’avait pas été donné de rencontrer un jour Maîtresse Alexandra, la célèbre
dominatrice SM qui a illuminé les scènes pari
siennes et internationales de toute sa personnalité et de toute son élégance au cours de ces dernières années. Avec quelques autres « happy few », j’ai eu l’immense privilège de faire
partie de son cercle d’intimes.
Si je devais résumer le souvenir que je conserve d’elle, je retiendrais trois images : de beauté, d’intelligence et d’humour.
De beauté, tout d’abord. Une beauté solaire. Absolue. Celle d’une femme à la fois singulière et plurielle. Inoubliable. La grâce et l’élégance élevées à leurs plus hauts niveaux, comme en témoignent les nombreuses photos (180) jointes à ce blog et présentées dans deux albums :
• Album Christophe
Mourthé (
et autres
sources)
D’intelligence, ensuite. Une intelligence intuitive, alliée à un sens aigu de l’observation et de l’analyse psychologique, qui lui
permettait d’évaluer rapidement son partenaire, de mesurer son degré de motivation, de démêler ses forces et ses faiblesses, de percer à jour ses fantasmes, de le mettre en confiance sans lui
donner le sentiment d’être jugé, et de jouer vrai elle-mê
me, dans le ton, sans avoir à forcer son talent. Une intelligence du cœur aussi, car à la ville comme à la scène, elle était d’une grande générosité, accueillante et attentive
aux autres.
D’humour, enfin. Notre entente était parfaite sur ce point et nous avons fréquemment partagé des moments de fous rires irrépressibles.
Car l’une comme l’autre, nous prenions un malin plaisir à nous surprendre. Il faut reconnaitre qu’Alexandra était dotée d’un sens extr
aordinaire de l’improvisation. Personne mieux qu’elle ne savait habiter
complètement son personnage de l’intérieur, recréer une atmosphère, un décor. Le rêve prenait alors subitement toute la consistance de la réalité. Il n’y avait plus qu’à se laisser guider… C’est
ainsi, au fil de nos rencontres, qu’a pris forme le personnage de Béatrice.
L’histoire de « Béatrice » a donc elle aussi une histoire. Elle n’a pas été inventée après coup. Elle s’appuie au contraire sur tous
les petits textes que j’ai pris soin de rédiger avant ou après chacune de mes visites. Alexandra s’en inspirait le plus souvent - mais pas toujours - pour développer le scénario de nos jeux.
Rétrospectivement, il me semble que
nos
deux imaginaires se complétaient parfaitement. Fruit d’une forte complicité et presque écrite à quatre mains, pourrait-on dire, la série braque le projecteur sur le personnage de Béatrice, mais à
mes yeux, c’est Maîtresse Alexandra qui en déroule le fil rouge et qui en tient le rôle principal.
Celle-ci m’a fait l’honneur et le plaisir de publier les premiers épisodes sur son site. Prenant le relais à sa suite, il m’a semblé
opportun de présenter mon histoire dans un format interactif et accessible au plus grand nombre. L’idée m’est ainsi venue de créer un blog. J’y ai vu le moyen de garder vivant le souvenir de
cette femme exceptionnelle qui nous a malheureusement quittés trop tôt, et de lui offrir
ainsi un témoignage d’admiration, de respect et de profonde
gratitude.
Dans le prolongement de cette première rencontre, j’ai eu la chance extraordinaire de faire la connaissance de Christophe Mourthé, le
célèbre photographe précurseur de l’école « fétichiste », qui a collaboré avec les plus grands magazi
nes (Playboy, Penthouse, Vogue, Lui, New Look…) et contribué à l’éclosion
de bon nombre de jeunes talents (Mylène Farmer, Marlène, Laure Sinclair, Clara Morgane, Dita Von Teese, Zdenka, Dominique La Mer, entre autres). Je remercie très chaleureusement Christophe de
m’avoir autorisée à publier sur mon blog les photos et les extraits de films que nous avons tournés ensemble dans son studio avec Maîtresse Alexandra. Afin d'accéder à ces vidéos inédites
qui sont diffusées sur YouTube, cliquez sur :
Concrètement, « Béatrice ou l’éducation d’une jeune soubrette » se présente sous la forme d’une série de 60 épisodes diffusés mensuellement depuis février
2009.
La traduction en anglais des 14 premiers épisodes, effectuée par Geoffrey, ancien disciple de Maîtresse Alexandra, est également disponible à l'adresse suivante : www.missbeatrice.erog.fr
Voilà, je vous ai à peu près tout dit !
Avant de vous plonger dans mon histoire, je vous engage à prendre connaissance du « pitch » dans le résumé et à consulter le sommaire des épisodes.
Last but not least, afin de bloquer les publicités intempestives et de mauvais goût dont Overblog se permet d'accompagner mon
blog, comme d'ailleurs tous ceux qui sont hébergés sur sa plateforme, je vous recommande vivement de télécharger sur votre PC un logiciel gratuit, de type Adblock.
Vous pourrez ainsi naviguer sans désagrément.
Bonne lecture !

tout au fond, l’air sévère. Perdue dans
un rêve intérieur, sa chienne Diva est allongée à ses pieds. La jeune fille reste immobile sur le seuil de la porte, paralysée par la peur.
me montrer ce que tu sais faire ! Marche jusqu’à la
porte ! Tu es prête ?
seule bien longtemps, je t’aurai toujours à mes côtés, à portée de la main [Sourire] et je m’occuperai de toi comme une mère.
écartent délicatement ses lèvres intimes], tu as
sûrement un amoureux ?
dessous dans un geste inconsciemment
provocant, comme si cet argument supplémentaire pouvait jouer en sa faveur. Lady Alexandra ne peut pas s’empêcher de les caresser et d’en pincer les tétons entre ses doigts jusqu’à ce qu’elle les
sente se dresser. Apparemment, la jeune fille se laisse faire sans déplaisir.
campagne, c’est comme ça que je les aime !
très sévère. Je veux de l’ordre,
de la discipline et de l’obéissance. Je te dresserai jusqu’à ce que tu sois parfaite, tu m’as bien comprise ?
Après avoir couru tout au long du chemin et gravi quatre à quatre les degrés du perron, Béatrice se présente essoufflée dans le hall d'entrée du manoir. L'horloge marque onze
heures passées de cinq minutes. George, imperturbable, l'introduit dans le salon où l'attend Lasy Alexandra.
que je vais te dire.
laine.]
e. Visiblement, ses pensées
sont ailleurs, accaparées par la vision d'un alignement impressionnant d'escarpins posés sur une étagère au-dessus d'elle.
ment que tu apprennes à marcher élégamment.
lleront à chaque instant que tu n'es pas libre de tes mouvements. Que tu les portes pour
faire plaisir à ta maîtresse. Que tu me dois une totale obéissance. Que tu m'appartiens. Tu comprends, Béatrice?
oup plus pratique pour te déshabiller!
précisément tous les matins comment tu dois t'habiller et tu obéiras. C'est clair?
ur te guider, elle a plus d'expérience. Quand viendra ton tour, ce sera à toi d'aider les
plus jeunes. En attendant, concentre-toi, nous abordons le plat de résistance, si j'ose dire. Je vais t'apprendre à mettre un corset.
ord tu l'agraferas par-devant en commençant par les attaches du haut...
e.

ce. Rien n'est jamais trop beau pour mes domestiques.


m'aidant de mon genou.

important, c'est que tu t'attaches en permanence à me donner
satisfaction. Et puis, tu verras, quand on est mignonne comme un cœur comme toi, il est loin d'être désagréable de se sentir désirée. Lève les pieds et enfile ta robe! Il faut que tu sois
irréprochable. Une perle. L'orgueil de cette maison. Je veux que tout le monde m'envie de t'avoir à mon service. Tu comprends ?






enjambées. On dirait un bûcheron ! Je t’ai dit des petits pas serrés,
recommence !
suis-moi… ici, nous serons plus tranquilles, personne ne viendra nous déranger.
contenterai pas de te reprendre, je n’hésiterai pas à te punir.
courbée, redresse-toi... évite de regarder tes pieds… marche naturellement… et oublie tes talons hauts.
n matin, quand ton petit laitier se présentera,
j’aurai deux mots à lui dire !
que tu sais
marcher correctement à petits pas. Cela n'a peut-être pas d'importance pour toi mais ma réputation est en jeu. J'en fais une affaire personnelle. La maison n'accepte pas l'échec, c'est
clair?
n'es pas près de gagner, ma belle, c'est moi qui te le dis, tu me
connais mal !
dine partage mon avis, c'est tout à fait ce qu'il te
faut!
, elle est adorable comme ça, avec sa jupe relevée!
suis une petite soubrette entêtée qui a grand besoin d'être
punie...

re et de la méthode, il faut qu'elle s'en souvienne longtemps. Tu
as entendu, Béatrice?
série de cinquante puisque tu sembles y prendre goût!
très rapidement marcher à petits pas!
temps de méditer sur les conséquences de sa conduite,
Béatrice est autorisée à se relever et à reprendre ses interminables allées et venues à travers le petit salon. Lady Alexandra ne la lâche pas une seconde des yeux.
genoux... pas trop non plus, tu ne diriges pas une parade
de majorettes !
peut-être?
yeux légèrement baissés... n'oublie pas de bomber la poitrine... et de cambrer les reins.
longtemps qu'il le sera nécessaire. Continue... tu es
encore trop raide...



caresser...
Comme chaque matin, Béatrice s’est réveillée à l’aube. Elle a fait sans s’attarder une toilette sommaire dans le petit lavabo de sa chambre puis a revêtu sa tenue de soubrette avant
de quitter les communs où elle loge et de se rendre au château afin de recevoir les ordres de sa maîtresse.
i comment tu es habillée.
eau de toilette.
tu n’as rien fait, et tu crois que tu vas pouvoir rester
comme ça, poilue comme un singe ? Tu t’imagines sans doute que c’est agréable à regarder ?
me.
.]
Non, pas comme ça, Béatrice ! Garde les jambes tendues et incline seulement le haut du corps. Oui, je sais, c’est fatiguant, mais tu y arriveras, et puis c’est beaucoup plus agréable à regarder !
[En se penchant, la soubrette offre la vision de ses cuisses nues, au-dessus de ses bas noirs, et les contours fermes de ses fesses rebondies.]


xamen achevé, la
maîtresse de maison se retourne lentement et, triomphante, brandit son doigt blanc sali par la poussière.
sa domestique, elle baisse sa petite culotte d’un geste
sec]
En cette fin d’après-midi ensoleillée de septembre, une chaude lumière dorée s’engouffre à travers les portes-fenêtres et baigne le petit salon de Glendale. Celui-ci est orné de
boiseries claires du XVIIIe siècle français, à l’image du mobilier qui le compose, réuni avec un goût très sûr, au fil des générations, par la famille Ashley. Il offre, face au jardin, un élégant
bureau Régence noir rehaussé de bronze doré. Devant la cheminée, sont disposés un canapé Louis XV et des sièges assortis, revêtus de tapisseries au point à grands ramages bleu et jaune.
de maison. Elle marquera, en effet, la première apparition de Béatrice en public. Public limité et a priori indulgent certes, mais l’exercice a valeur de
test car Lady Alexandra est impatiente d’observer sur le vif le comportement de sa domestique et les réactions que celle-ci peut susciter autour d’elle.
veillé sur les moindres détails, attachant une importance toute particulière au choix de la tenue « spéciale invités » de sa soubrette.
Celle destinée à exacerber autant le désir des hommes que la jalousie des femmes. La séance d’habillage a été assortie des ultimes recommandations d’usage, Lady Alexandra soulignant la chance
offerte à sa domestique de se présenter sous son meilleur jour et de faire honneur à sa maîtresse.
marque de courtoisie. Celui-ci la
suit jusqu’au petit salon. Tandis qu’elle s’applique à marcher la tête droite, la poitrine en avant et les reins cambrés, elle devine dans son dos une paire d’yeux la déshabiller de la tête aux
pieds.
- Quel plaisir de vous revoir, Alexandra, j’ai l’impression de vous avoir quittée hier, vous n’avez pas changé, vous êtes superbe !
vers la cuisine] Il n’y a pas que la maison qui est
ravissante ! [Lady Alexandra ne relève pas l’allusion, ce qui semble contrarier son invité] Votre fidèle Émilie vous a quittée ?
plateau. Un assortiment de gâteaux plus appétissants les uns que les autres - scones, muffins, crumbles, cheese-cakes - accompagne le
service à thé en porcelaine de Minton à motifs « blue willow ».
comme des fruits prêts à être cueillis, et à rouler les tétons entre ses doigts pour les sentir se dresser et se durcir.]
elle a déposé une part de crumble à la rhubarbe.
intérieurement la scène. Elle revient quelques minutes plus
tard et pose le catalogue sur la table en s’inclinant à nouveau profondément.
plusieurs reprises sur la peau tendre, puis en resserrent les bords pour la transformer en string.]
le dos tourné à Charles. La main de ce dernier s’est insinuée
entre ses cuisses et ses doigts s’attardent sur le renflement du pubis à travers le coton de sa petite culotte. Ce contact ne doit pas déplaire à la soubrette car Charles sent le tissu s’humecter
rapidement.] Alexandra, je vous envie !
- Il n’y a pas de mais, Madame, fais ce que je te dis ! [Béatrice relève sa robe, les joues subitement empourprées. Elle ne peut dissimuler l’auréole humide qui voile son entrejambe
et hésite à aller plus loin.]
Charles, qui n’en demandait pas tant, profite de cette
nouvelle aubaine pour lutiner ses courbes rebondies.]
je m’apprêtais à dire le plaisir - de lui administrer vous-même la correction.
Loin du collège austère où il poursuit ses études et où les apparitions féminines sont quasi inexistantes, le jeune William est en vacances pour quelques semaines chez sa tante, à Glendale,
et tombe rapidement sous le charme de Béatrice. Celle-ci, de son côté, ne fait rien pour le décourager. Tirant parti de la présence de son neveu, Lady Alexandra décide d’initier sa soubrette à
des travaux pratiques d’un genre particulier.
u de t’agenouiller devant ton partenaire.
que tu laisses le contact s’installer. Ton partenaire doit se sentir en confiance et comprendre que tu lui veux du bien. Le point essentiel à
retenir dans cette première approche est qu’à partir du moment où ta main est posée sur lui, elle ne doit plus quitter son poste jusqu’à la fin.
es courbes du terrain et à repérer la queue qui « dort » encore.
Une fois que je l’ai sentie, je passe la main sur toute sa longueur, une fois, deux fois, trois fois, pour la sortir de sa torpeur, puis je la quitte pour m’attarder à l’intérieur des cuisses,
avant d’y revenir à plusieurs reprises. Tiens, touche, tu la sens, elle commence à se raidir ?
e ta main à
l’intérieur de son pantalon pour le masser de plus près. Fais-le d’abord à travers le tissu de son slip, en veillant à ne rien exposer au regard, comme si ton geste était totalement naturel, il
aura l’impression de rester habillé [sourire] et puis, si tu sens qu’il est bien disposé, prends directement les choses en main.
essaie de rester la plus souriante possible.
Prends par exemple un petit air mutin en même temps que tu baisses son pantalon et que tu en fais autant avec son slip.
ça fait tout drôle de voir un monsieur avec son caleçon enroulé autour de ses chevilles ! Mais dans de telles
circonstances, tu dois apprendre à garder ton sérieux car ta réaction pourrait être mal interprétée et aboutir à bloquer ses élans. Dans l’idéal, il faudrait que tu réagisses comme une petite oie
blanche qui découvre un sexe en érection pour la première fois. Avec les talents de comédienne que je te connais, tu ne devrais avoir aucun mal !
la formule qui convient, tu n’auras pas à
attendre longtemps pour en constater les résultats. Ton extase va le flatter. Il va se sentir plus à l’aise et conforté dans sa virilité. Alors, puisque tu es sur le bon chemin, continue, ne
baisse jamais les paupières, garde toujours un petit sourire au coin des lèvres et, de temps en temps, fixe-le dans le blanc des yeux. Il doit lire dans ton regard que tu adores ce que tu lui
fais et que sa jouissance va être comme un cadeau qui t’est destiné.
d’en
démêler les boucles avec les doigts. Je m’insinue ensuite à l’intérieur de ses cuisses afin d’évaluer le degré de moiteur de sa peau.
xige d’infinies précautions. Chez l’homme, c’est l’extrémité du pénis qui est la partie la plus sensible. Pour libérer
le gland, je tire le plus doucement possible la peau vers l’arrière, en plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il soit complètement exposé. Il faut que le prépuce soit bien replié derrière l'ourlet du
gland pour que celui-ci reste toujours dégagé. Tu peux alors le cajoler, mais il faut le faire tout avec une douceur infinie, en l’effleurant avec l’intérieur de la paume, ou bien en passant tes
doigts dessus et en le titillant avec tes ongles. Après, ce n’est qu’une question de temps. La plupart de tes partenaires seront incapables de résister à tes caresses.
exe à se lever
en présence d’une dame. Manifeste ta satisfaction. Emerveille-toi de ses prouesses. Incite-le à recommencer. S’il s’est montré docile, à défaut de lui donner un sucre, tu pourras par exemple
déposer un petit baiser au sommet de son gland pour le remercier.
lorsque tu fais de la pâtisserie, ou bien
frotte-le comme si tu allais provoquer l’étincelle pour allumer le feu ! Encourage-le. Tu dois le convaincre de t’en donner encore plus et que tu ne seras satisfaite que lorsqu’il aura éclaté
entre tes doigts. Comme si tu n’y étais pour rien et que tout venait de lui, c’est le moment de le prier de t’accorder le spectacle de son plaisir.
erche pas à peaufiner, à ce stade, ce n’est
plus nécessaire, contente-toi d’un geste purement mécanique et admire plutôt les signes de l’heureux dénouement : l’accélération de sa respiration, la montée et la descente de ses testicules, la
couleur violacée de son gland, l’ultime gonflement de son sexe. C’est beau un homme qui s’apprête à jouir entre les mains d’une femme !
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